OUPS, l'orthographe, Madame !
En faisant le ménage je retrouve des choses mises de côté dont je n'ai pas eu le loisir de faire part.
On dira ce qu'on veut mais tout se perd, et il n'y a pas que chez les jeunes. Je vous laisse lire d'abord l'extrait:
" Chers concurents,
Voici une bonne nouvelle... il me tardais de vous la communbiquer ::
COMME CONVENU le juri se réunia
...........
Je souhaite que cette idée vous soit agréable et que vous répondIez tous à cette invitation...."
Vous allez dire , voilà qu'elle nous fait des langues sales, comme on dit au Québec, ça peut arriver , des coquilles on dira. Oui mais si je vous dis que c'est l'organisatrice (soi-même) d'un Concours de Nouvelles qui coquille de la sorte, vous hochez déjà de la tête. Regardez à nouveau, surprenant non ? A qui se fier? Toute association locale, peut donc ainsi lancer par voie de presse, son petit concours, récolter les 12 Euros de chaque inscription, exiger la nouvelle en 7 exemplaires , donc aucun frais de leur côté , vous envoyer quelques mois plus tard un palmarès de trois noms, et basta, vous répondre qu'elle s'étonne de votre souhait de pouvoir lire la production primée. Que personne ne demande, je suis la première.
Et puis quelque temps après, cet envoi de l'organisatrice qui relève d'une indigence orthographique étonnante. Sept pages de boulot, ma nouvelle, bonne orthographe garantie, parce que je tâche de me relire , on a sa dignité . Mais ça devient quoi nos textes qu'on balance dans la nature, lus par qui , ou pas lus du tout, ou réutilisés tiens ! Et ils sont où maintenant ? Me voilà guérie, et à me demander si elle ne sortait pas d'un bon PPVR ( pain-pâté-vin rouge breton ) bien tassé , financé par notre naïve participation, cette dame, qui s'appelle Josette .
Et la DRAC dans tout ça ?
Bon j'espère ne pas avoir "fauté" , j'ai même cliqué sur le petit "ABC "pour la correction automatique, tout à l'air au point , manquerait plus que ça.