Sur les pas de Georges Sand .
Après les détours dans la Vallée Noire retour à Nohant .
Je suis allée la première fois en 1987, mais depuis les " Morceaux choisis" de mes livres scolaires je me figurais les lieux. De ces lectures sont nées des appétits d'en savoir plus. Lire, encore lire, et voir en vrai où naissent les livres.
George Sand ... passionnante George , dont je m'étonne qu'on ne garde souvent d'elle qu'une image fade ( G Sand, oui Fadette ......) et lui attribue une image d'égérie légère. (Elle n'a jamais écrit certains textes lestes que la rumeur prend plaisir à lui attribuer). J'ai eu l'avantage de faire la découverte de Nohant guidée par Monsieur Robert Franco qui démontrait si bien à l'assistance ce que nous, les femmes, lui devions. Et puis de lire ses Indiana, Lélia,... avec toute la reconnaissance due aux pionnières, sa volumineuse et lumineuse correspondance . On se fait un petit panthéon littéraire, elle en haut, on admire, quelle vie remplie, quelle énergie, quelle puissance à écrire, à correspondre, à défendre ses idées et ses amis socialistes, à faire ses marionnettes, à voyager, à séduire, à aimer...
Un clic pour mieux lire
Nous entrons ....
Sa chambre .
" Je voudrais tous les matins trouver un enfant sur mon oreiller. Je me plains du peu que j'en ai .Mais malheuseument, j'ai oublié comment on les fait. Je suis vieille". (Correspondance1837 , elle a 34 ans)
celle de sa Grand Mère
Cabinet de toilette
Et puis les marionnettes.
Le théâtre
Notre vie est faite d'amour et ne plus aimer c'est ne plus vivre. Correspondance 1871
" Laissez verdure" . Ce furent ses derniers mots .
Sa tombe sous le vieil if de Nohant .